Le confinement a un impact sur notre sexualité !
La France est reconfinĂ©e depuis le dĂ©but du mois de novembre. Si certains se ruent dans les sexshops, d’autres font une pause sexe pendant cette pĂ©riode d’isolement forcĂ©. Les comportements diffèrent concernant la sexualitĂ© enfermĂ©e et Tenga a voulu les dĂ©crypter dans un sondage.
Le sextoy : l’alliĂ© du confinement ?
Certains Français vivent mal le confinement qui a un effet anxiogène sur eux. Avoir une sexualitĂ© Ă©panouie les aide pourtant Ă dĂ©passer cette pĂ©riode difficile. 64% d’entre eux dĂ©clareraient que le plaisir sexuel les ferait se sentir mieux ou qu’il constituerait une forme de « soin de soi » pendant la quarantaine.
Pour pimenter leur sexualité pendant cette période, la découverte des sextoys a été une révélation ! 24 % des Français se seraient laissés tenter par les jouets coquins (auparavant contre) et en auraient utilisé pour la première fois durant le confinement. Quasiment la même proportion ne les aurait pas lâché de la quarantaine puisque 21% des Français se seraient servis plusieurs fois de leurs sextoys sur la période.
La sexualitĂ© Ă distance, c’est possible !
Les jouets Ă©rotiques, en plus de pimenter la vie intime des Français, ont un autre avantage : il en existe des connectĂ©s ! Pour les personnes passant le confinement loin de leur moitiĂ©, les jouets coquins connectĂ©s peuvent les sauver. De cette manière, ils continuent d’avoir des relations sexuelles avec leur partenaire… Ă distance. Loin des yeux mais près des zones intimes.
Certains sont aussi très attachĂ©s au plaisir visuel : mĂŞme Ă distance, ils veulent voir leur partenaire en action. C’est le cas pour 25% des Français qui auraient expĂ©rimentĂ© la masturbation ainsi que les rapports sexuels par webcam pendant le confinement. De quoi donner des idĂ©es Ă quelques uns pour ce nouvel isolement…
D’autres mettent leur sexualitĂ© entre parenthèses
Selon un sondage de l’Ifop pour PornHub, la sexualitĂ© des couples a pâti du confinement. Avant cette pĂ©riode, 10% des couples n’avaient plus de rapports sexuels. Pendant la quarantaine, ce pourcentage est montĂ© Ă 21%.
Quant aux cĂ©libataires, au niveau des relations sexuelles, cela a aussi Ă©tĂ© la chute libre (prĂ©visible). 56% d’entre eux n’avaient aucun rapport sexuel avant le confinement et ce nombre s’est Ă©levĂ© Ă 87% pendant l’isolement forcĂ©.
Les diffĂ©rents confinements auxquels les Français s’avèrent confrontĂ©s semblent modifier leur sexualitĂ©, pour le meilleur mais aussi pour le pire ?
(Image Ă la une : Getty Images)