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Par Union.fr

Paris : 5 secrets sur les Chandelles, le plus célèbre club libertin de France

Par | 15 mars 2021

« Les Chandelles » s’impose aujourd’hui comme le club libertin phare de la capitale. De frĂ©quentation internationale, des couples, comme des femmes seules, se pressent pour passer la porte d’entrĂ©e, connue pour ĂŞtre une des plus exigeantes de France. On revient sur cinq secrets de ce club mythique Ă  travers le dernier livre de sa gĂ©rante, « Les Dessous des Chandelles », paru aux Ă©ditions Cherche Midi.

La gĂ©rante des Chandelles n’avait que 26 ans Ă  l’ouverture, en 1993

Si c’est par son ex-mari que ValĂ©rie Hervo a eu l’idĂ©e d’ouvrir un Ă©tablissement dĂ©diĂ© aux plaisirs libertin, la jeune femme a vĂ©cu cette opportunitĂ© professionnelle comme une rĂ©elle bulle de libertĂ© dans son couple de l’Ă©poque. Nous sommes alors en 1993, quelques annĂ©es avant l’explosion des clubs dĂ©diĂ©s Ă  l’Ă©changisme et au libertinage dans la capitale, au dĂ©but des annĂ©es 2000. Elle rĂ©ussira Ă  imposer sa philosophie de vie dans son temple Ă©rotique et Ă©rigera la femme en reine absolue du consentement.

« Ce NoĂ«l aux Chandelles est un cadeau que je me suis offert. Et il donne sens Ă  ma vie. J’ai vingt-six ans. » (.26)

Le club s’est fait connaĂ®tre grâce Ă  Thierry Ardisson

« Puis, par la grâce d’allusions publiques – merci, Thierry Ardisson ! -, le club sera pris dans la lumière des projecteurs tĂ©lĂ©visuels, lui qui se satisfait jusqu’alors de la seule pĂ©nombre voluptueuse de ses alcĂ´ves : les Chandelles deviennent synonyme de libertinage chic, de lieu exclusif des plaisirs recherchĂ©s. » (p.92)

Ce n’est pas « vraiment » un secret, puisque Ardisson ne se cachait pas de son affection pour la rue ThĂ©rèse, mais peu savent que cet Ă©clairage mĂ©diatique aura considĂ©rablement participĂ© Ă  la dĂ©mocratisation du nom. Évidemment, les quelques personnalitĂ©s qui l’ont Ă©voquĂ© savaient que l’adresse Ă©tait un gage de qualitĂ©, tant sur sa frĂ©quentation que par l’exigence d’un comportement exemplaire.

De fausses alertes à la bombe nuisent à sa réputation

La concurrence entre clubs libertins pouvaient s’avĂ©rer très malsaine, surtout lorsque seule la rĂ©putation d’un Ă©tablissement permet Ă  la clientèle de choisir sa soirĂ©e. C’est pour cela que les Chandelles a connu de nombreuses descentes de police… pour rien ! Un seul but : crĂ©er du sensationnel pour nuire Ă  la rĂ©putation du club.

« La jalousie et la mesquinerie de mes adversaires prennent parfois des tours grotesques. Par deux fois, les Chandelles font ainsi l’objet d’une alerte Ă  la bombe mobilisant police, sapeurs-pompiers et services de dĂ©minage : la rue ThĂ©rèse est aussitĂ´t envahie d’une longue cohorte de vĂ©hicules (…) » p.96

les-chandelles.com

Certains clients se font évacuer « par la petite porte »

Croiser un membre de sa famille, son mari infidèle ou un collègue de bureau, c’est l’apprĂ©hension de beaucoup de clients qui se rendent en club libertin. Et dans certains (rares) cas, cette angoisse devient rĂ©alitĂ©. Heureusement, quand elle le peut, ValĂ©rie Hervo intervient assez tĂ´t pour dĂ©miner la situation de crise : « J’anticipe aussitĂ´t la scène de mĂ©nage et je me prĂ©cipite dans les alcĂ´ves Ă  la recherche du mari officiel. Je le retrouve, nu, batifolant avec son amie du moment et quelques autres complices. Discrètement, je leur fais signe de me suivre vers l’issue de secours afin d’Ă©viter des retrouvailles fâcheuses et inopinĂ©es. »

Il y a des bonbons Ă  la menthe pour se rafraichir l’haleine

Mieux que le dress code, l’hygiène est une des attentions les plus importantes des clubs libertins. Et cette exigence n’Ă©chappe pas Ă  ValĂ©rie Hervo qui met Ă  disposition des participants tout le nĂ©cessaire pour entretenir une hygiène irrĂ©prochable.

« Longtemps, on me taquinera mĂŞme sur l’odeur mentholĂ©e qui flotte parfois dans l’air : non, ce n’est pas un dĂ©sodorisant trop puissant mais bien plutĂ´t des bonbons exhalant ce parfum et que les convives aiment Ă  sucer pour se rafraichir l’haleine. » (P.40)

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